Peu de temps après notre dernier repas dans les locaux de Montbéliard (une succulente assiette comtoise à base de saucisses, patates et cancoillotte), nous partons à la rencontre de l’équipe cuisine composée de 6 filles et garçons. Car n’oublions pas que si nous avons tous pu tenir pendant ces 3 jours intensifs, c’est aussi grâce au café toujours chaud, aux fruits toujours frais, et aux repas toujours bien consistants.

Pour nos 6 cuistots, c’est la trêve. il se régalent maintenant à leur tour du repas qu’ils nous ont préparé avec beaucoup d’amour.
L’atmosphère est calme, avec une petite musique de fond. On imagine bien à quel point ça peut les changer des bruits de casseroles et autres « GLING » de micro-ondes.

Ce FF1J 2012 est leur première expérience dans le « métier ». Ils ont trouvé l’ambiance cool, et les gens sympas, malgré quelques pics de stress pendant le rush des repas. Car il ne faut pas oublier que nourrir 120 personnes pendant 3 jours, c’est un sacré boulot : 160 œufs à écailler, 5 kg de pâtes à cuire, 11, 5 litres de pâte à crêpes, et, comme si c’était pas assez, de délicieux gâteaux au chocolat MAISON (on en oublierait presque le mythique quatre quart).

Lorsqu’on leur demande de partager quelques anecdotes sympas, ils nous parlent du grand drame de cette édition : une table qui a rendu l’âme,  malencontreusement brulée pendant la soirée barbecue.  Autre curiosité, ils ont été contraints de fabriquer un barnum maison avec des tables et des bâches. Faudrait il un petit côté Mac Gyver pour cuisiner au FF1J ?

Bref, amis cuistots, nous vous saluons bien bas.

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