Ah ! des visages familiers. Il faut préciser que les membres de cette équipe « locale » viennent principalement du département SRC et de la licence PSM.

Les « Enormous Pelicans » font une fois de plus honneur à leur réputation (celle des « tocards » notamment) avec des réponses décalées, du tac au tac.

Pourquoi font-ils le FF1J ? « Pour les fourrées au chocolat », évidemment. Et ils comptent bien profiter de ces jours pour amortir leur participation financière. Ainsi tel des pélicans ils ingurgiterons le maximum de réserves alimentaires pour tenir ces deux jours restants.

En revanche aucune source d’inspiration n’a été dévoilée.
Le suspense reste donc entier. Il nous faudra attendre demain pour avoir un aperçu de leur réflexion qui paraissait partir dans tous les sens.

Teaser FF1J 2010 – Enormous Pelican from Festival du Film d’Un Jour on Vimeo.

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  • antolujenicalain

    Biographie de frederic francois [modifier]
    Origines et enfance [modifier]
    Né le 3 juin 1950 dans une famille très modeste de Lercara Friddi en Sicile, Francesco Barracato est le second enfant de Nina et Peppino Barracato. A sa naissance, sa mère est couturière à Lercara tandis que son père est mineur en Belgique dans le bassin houiller de Liège. En 1951, Nina et ses deux fils rejoignent le père à Tilleur, à 8 km de Liège. Francesco Barracato grandit dans une famille de huit enfants. Peppino chante pour le plaisir des chansons napolitaines et des airs d’opéra en s’accompagnant lui-même à la guitare. Le jeune Francesco est âgé de 10 ans quand il chante pour la première fois en public O Sole Mio dans un café sicilien de Tilleur, Le Passage à Niveau.

    Carrière [modifier]
    Débuts [modifier]
    En 1963, il devient à 13 ans semi-professionnel en tant que guitariste-chanteur dans le groupe Les Eperviers. Il quitte le collège technique en 1965 pour le Conservatoire de musique de Liège en classe de violon. En 1966, il intègre Les Tigres Sauvages et gagne le Microsillon d’Argent du Festival du Châtelet en Belgique dont le prix comporte l’enregistrement d’un 45 tours-2 titres (Petite fille et Ne pleure pas) pour lequel il prend le pseudonyme de François Barra. Le vainqueur bénéficie aussi du passage en première partie de trois artistes confirmées : Johnny Hallyday, Pascal Danel et Michel Polnareff, son idole. En 1969, sa rencontre avec le producteur belge Constant Defourny aboutit à son premier contrat avec une maison de disques : Barclay-Belgique. Il enregistre son premier 45-tours sous le nom de Frédéric François (forgé à partir du double prénom de Chopin : Frédéric-François) intitulé Sylvie, qui sort au mois de juillet 1969. Il donne ses premières prestations en solo dans les salles de la région de Liège au milieu du tour de chant de l’orchestre The Best Group : il interprète cinq titres de sa composition dont naturellement Sylvie. Il sort un nouveau 45 tours, Les Orgues de Saint Michel, qui ne rencontre aucun succès. Puis un autre Marian, accompagné d’un second titre Comme tous les amoureux écrit spécialement pour représenter la Belgique au Concours Eurovision de la Chanson 1970 mais qui n’a pas été retenu.

    Les années 1970 [modifier]
    En 1970, Frédéric François enregistre un nouveau titre Jean (prononcer Jinn) qui est l’adaptation de la chanson du film britannique The Prime of Miss Jean Brodie (« Les Belles Années de Miss Brodie ») du réalisateur Ronald Neame (1969). Cette chanson, distribuée sous le label AZ, traverse la frontière franco-belge grâce à Lucien Morisse, le directeur des programmes d’Europe 1, qui la diffuse sur son antenne et permet au jeune chanteur d’être classé pour la première fois dans un hit parade, mais ne suffit pas à le rendre célèbre. Il sort consécutivement deux 45-tours Le pays d’où tu viens et Shabala. Le premier est diffusé dans l’émission Formule J de la radio belge RTB. L’intérêt des auditeurs est palpable, mais ne se traduit pas encore par un succès franc et massif.

    En 1970, il épouse Monique Vercauteren, également une fille de mineur rencontrée un an auparavant. Il enregistre une nouvelle chanson, parlée cette fois et non pas chantée, I love you je t’aime, où l’on peut entendre une voix de femme lui répondre, qui n’est autre que celle de Monique… Leur premier enfant, Gloria, naît le 11 février 1971. I love you, je t’aime, est programmée en 1971 à outrance sur la radio pirate hollandaise Véronica, qui émet d’un bateau ancré hors des eaux territoriales. Les 30 000 exemplaires vendus de ce disque sont considérés comme la première vraie reconnaissance du public à son égard. Malgré tout Frédéric vit mal de sa musique et Monique continue de travailler en usine. Frédéric François connaît un certain découragement quand il compose comme on jette une bouteille à la mer Je n’ai jamais aimé comme je t’aime, dont le texte est signé du parolier Marino Atria, sicilien par sa mère, napolitain par son père et fils de mineur lui aussi. Cette chanson est classée N°1 durant treize semaines dans le hit parade de l’émission Formule J. Frédéric François sort enfin de l’anonymat, ce qui décide son nouveau label Vogue-Belgique à distribuer Je n’ai jamais aimé comme je t’aime, prudemment, uniquement dans les magasins de disques français du Pas-de-Calais, région la plus limitrophe de la Belgique : 250 000 exemplaires sont vendus. Lui-même considère ce sixième 45-tours, enregistré sous le nom de Frédéric François, comme son premier vrai succès.

    Quelques mois plus tard, un autre cadeau du ciel vient illuminé sa vie : la naissance de son second enfant, Vincent, le 15 mai 1972. Le véritable tube survient au cours de l’été de l’année 1972, Je voudrais dormir près de toi, vendu à 500 000 exemplaires et numéro un dans plusieurs pays, qui le propulse tout en haut de l’affiche.

    Au fur et à mesure que sortent Laisse-moi vivre ma vie (fin 1972- un million de disques vendus), Viens te perdre dans mes bras (1973), Chicago (1975), les tournées se succèdent à un rythme effréné. C’est dans ce contexte que naît son second fils et troisième enfant, Anthony, le 8 janvier 1976. L’œil de velours du latin lover, la voix caressante, le sourire dévastateur et l’hystérie collective qu’il déclenche à chacun de ses concerts classent Frédéric François parmi les « idoles ». On parle à son propos de Frédomania. Frédéric François surfe sur la crête de la vague du succès jusqu’en 1979, où le tsunami du disco le bouscule et le déloge des premières places des hit parades.

    Les années 1980 [modifier]
    La traversée du désert dure trois ans, jusqu’en 1982. Celle-ci n’est pas due à une désaffection du public, mais à une indifférence des médias à son égard. Ce creux de la vague qui atteint moralement Frédéric François a une conséquence psychosomatique : il est sujet à de graves crises de spasmophilie qui ne s’espacent que lorsque le succès est de nouveau au rendez-vous. Celui-ci est dû aux radios libres, qui viennent de naître, et qui diffusent à tour de bras le titre Adios Amor (1982) lequel est l’adaptation par le parolier Michel Jourdan d’une chanson allemande. 500 000 exemplaires du 45-tours s’arrachent en quelques semaines. Ce retour en grâce lui permet de mettre sur pied un nouveau tour de chant, qu’il part rôder en Haïti, où il chante pour la première fois.

    En 1983, il rejoint Trema, la maison de disques de Michel Sardou et Enrico Macias. Jusque là, Frédéric François a surtout été un vendeur de 45-tours. En 1984, il teste sa popularité en sortant son premier album, Mon cœur te dit je t’aime, qui est trois fois Album d’or (300 000 ex.).

    La naissance cette même année du Top 50 marque un tournant décisif dans la carrière de Frédéric François puisque pour la première fois dans l’histoire du disque, les chanteurs sont classés grâce à leur vente réelle et non à partir de prétendus classements plus ou moins subjectifs. Seuls les chiffres parlent. A partir de cette date Frédéric François est jugé à sa juste valeur. Pourtant, à Paris, le showbiz est encore réticent. Il a 34 ans quand il passe pour la première fois à l’Olympia grâce à son imprésario Moïse Benitah qui a su convaincre Jean-Michel Boris et Paulette Coquatrix. Il affiche complet. Et l’engouement pour sa nouvelle chanson Je t’aime à l’italienne est tel que son nom s’affiche en lettres rouges encore une fois l’année suivante (1985) sur le fronton du grand music hall de la rive droite. Le 14 avril 1987 décède celui qui lui a donné l’envie de devenir chanteur et l’artisan de sa réussite : son père Peppino Barracato. Le succès incroyable de son nouvel album « Une nuit ne suffit pas » (première collaboration avec une parolière, Michaele) et la préparation de son troisième Olympia en 1988 lui permettent de se plonger dans le travail et faire face à cette tragique disparition. A l’occasion de ce passage, il se fixe une règle : être sur la scène de l’Olympia tous les deux ans.

    En 1989, il chante dans vingt-cinq villes au Canada et fait franchir une étape supplémentaire à sa carrière en partant à la conquête des Etats-Unis (avril 89) : après Miami, c’est New York où il donne cinq représentations dans trois salles différentes : le Brooklyn College, le Queens College et la Townhall Foundation.

    Les années 1990 [modifier]
    Pendant trois semaines, du 1er mars au 18 mars 1990, Frédéric François est à l’affiche de l’Olympia. Le premier soir, en sortant de scène, il apprend que son quatrième enfant, Victoria, vient de naître alors qu’il était en train d’interpréter la dernière chanson de son récital, Je t’aime à l’italienne. Deux ans plus tard, c’est durant tout un mois qu’il occupe la scène du grand music-hall de la rive droite. Très rares sont les chanteurs qui ont ce privilège. Ce sera d’ailleurs la prestation la plus longue de sa carrière.

    En 1993, il quitte Trema pour créer sa propre maison de production, MBM, afin d’acquérir une totale liberté de création et signe un contrat avec BMG pour la distribution. Il sort le dernier 45-tours vinyle de sa carrière, L’amour c’est la musique. Puis son premier CD intitulé Tzigane.

    Le 20 décembre 1996, il est reçu en audience privée par le pape Jean-Paul II à Rome, et chante pour la première fois en Italie, en l’honneur du Saint-Père, accompagné par 70 musiciens et les chœurs de l’opéra de Rome. D’autres invités prestigieux sont au programme : Dionne Warwick, Nathalie Cole, Laura Pausini, Los del Rio.

    Sa mère, qu’il a toujours admirée, s’éteint le 17 août 1997. Frédéric François lui dédie son huitième Olympia en mars 1998, suivi d’une tournée monumentale qui draine plus de 300 000 spectateurs. Frédéric sait qu’il va chanter pour la première fois de sa vie – le concert est prévu pour le 30 mai 1999 – dans son village natal de Lercara Friddi, en Sicile. C’est pourquoi il enregistre quelques mois avant cet évènement un album de standards italiens (Volare, Come Prima, Ciao Ciao Bambina) intitulé Les plus grandes mélodies italiennes. C’est à ses yeux comme un retour aux sources et une manière de célébrer ses trente ans de carrière.

    Les années 2000 [modifier]
    Frédéric François aborde le XXIe siècle en publiant son premier livre, Ma vie (éd. Hors Collection) avec la collaboration du journaliste Serge Igor, où il se raconte comme il ne l’a jamais fait, et où il ouvre pour la première fois ses archives de photos personnelles.

    Sa tournée en 2002-2003 est marquée par une nouvelle performance : il donne plus de 100 représentations consécutives de son tour de chant en France, Belgique et Suisse. Et lui qu’on a souvent comparé à un « Tino Rossi d’aujourd’hui », à cause du timbre unique de sa voix mais aussi de son comportement sur scène et ses ritournelles à succès, décide de rendre hommage au grand Tino en reprenant en 2003 ses principaux succès : Méditerranée, Marinella, Ave Maria, Petit Papa Noël. En 2004, lors de son onzième Olympia, Frédéric François chante pour la première fois de sa carrière en anglais une reprise d’Elvis Presley Love me tender. Le public ne s’y attend pas et lui fait une ovation. En 2005, cela fait trois ans qu’il n’a pas enregistré de chansons nouvelles et ses fans s’impatientent. Le CD qui sort enfin avec 15 chansons, dont Et si on parlait d’amour, prouve qu’il ne semble pas souffrir du nouveau phénomène qui commence à faire des ravages : le téléchargement de chansons sur internet. Ce sont 200 000 exemplaires de son album qui s’écoulent en quelques semaines.

    Au mois d’octobre 2005, il se dévoile encore un peu plus dans un second ouvrage Autobiographie d’un Sicilien (éd. Ramsay) d’où ressort sa personnalité chaleureuse et attentive aux autres, celle d’un homme fier de ses idéaux, qui se bat jour après jour pour défendre des valeurs qui rendent la vie plus généreuse. C’est aussi cette année-là que certaines de ses admiratrices commencent à lui donner un autre surnom que le désoramais célèbre « Frédo ». Elle le baptisent « La voix de l’amour » (The voice of love).

    Ce qui différencie un simple chanteur d’une star, c’est qu’il n’hésite pas à faire partager à son public sa vie privée. Frédéric François fait partie de la seconde catégorie. C’est pourquoi l’album qui est commercialisé le 14 juin 2006 intitulé Mes Préférences est emblématique puisqu’il égrène les grandes dates de sa carrière et de sa vie familiale : la chanson interprétée pour la première fois en public à l’âge de dix ans O Sole Mio ; son premier enregistrement Petite fille ; son premier grand succès Laisse-moi vivre ma vie ; la chanson écrite en l’honneur de sa mère de son vivant Mamina (« Ma petite maman » en sicilien) ; la déclaration qu’il voue à sa petite dernière Victoria, Fou d’elle ; le titre qu’il a composé pour le sixième anniversaire de la mort de son père, Le Strapontin de papa.

    Frédéric François mesure sa chance d’être toujours présent dans le paysage du show-business et dit, à un an de distance, deux fois Merci la vie ! La première le 22 octobre 2007 avec son CD intitulé précisément Merci la vie !, et la seconde fois le 22 octobre 2008 avec la parution du livre de photos qui lui est consacré avec plus de 300 clichés signés Patrick Carpentier, Merci la vie ! aux éditions Du Rocher). Ce qui n’empêche pas la vie de lui jouer un bien mauvais tour : il s’effondre le 26 octobre 2008 avant son concert au Forum de Liège, terrassé par un abus de cortisone.

    Frédéric François est hospitalisé deux fois au CHU de Liège. Il y fait un premier séjour durant pratiquement un mois du 28 novembre au 22 décembre 2008. Et un second de quinze jours au mois de févier 2009. Alors qu’il est sur son lit d’hôpital sortent l’album live, puis la version DVD de Tour 2008-Frédéric François-de l’Olympia à Forest National, qui mêlent habilement ses prestations sur la grande scène parisienne et sur celle de Bruxelles.

    Les médecins lui préconisent un repos complet. Il arrête sa carrière pendant un an. Il rechante pour la première fois en public, à titre exceptionnel, lors de l’émission Télévie sur la chaîne de télévision belge RTL-TVI pour la recherche contre le cancer. On le voit interpréter avec sa fille Victoria Somethin’ Stupid de Frank Sinatra, un duo déjà créé ensemble en mars 2008 sur la scène de l’Olympia le jour des 18 ans de sa fille. Il est prévu qu’il reprenne ses activités le 31 octobre 2009 en redémarrant sa tournée là où, à bout de forces, il l’avait laissée : sur la scène du Forum de Liège. Le chanteur semble faire totalement confiance à sa santé retrouvée puisqu’on sait qu’il sera de nouveau sur la scène de l’Olympia au mois de février 2011 : sa société de production ayant déjà réservé la salle…

    Principaux succès [modifier]
    1971: Je n’ai jamais aimé comme je t’aime, Vogue
    1972: Je voudrais dormir près de toi, Vogue
    1972: Laisse-moi vivre ma vie, Vogue
    1973: Viens te perdre dans mes bras, Vogue
    1975: Chicago, Vogue
    1984: On s’embrasse, on oublie tout, Vogue
    1984: Mon cœur te dit je t’aime, Trema
    1985: Je t’aime à l’italienne, Trema
    1987: Une nuit ne suffit pas, Trema
    1988: L’amour s’en va l’amour revient, Trema
    1989: Qui de nous deux, Trema
    1990: Est-ce que tu es seule ce soir, Trema
    1993: Tzigane, MBM-BMG
    1995: Les Italos-Américains, MBM-BMG
    1997: L’amour fou, MBM-BMG
    1997: Je ne t’oublie pas, MBM-BMG
    2001: Un slow pour s’aimer, MBM-BMG
    2005: Et si l’on parlait d’amour, MBM-BMG
    2007: Merci la vie, MBM-Sony/BMG

  • Bleue

    Les « fourrés au chocolat » ….. non ! les QUATRE-QUART !!!!!!

    sinon Marine est remarquablement bonne sur cette photo et nicolas.N à l’air de se faire profondément chier 😀 quant aux autres … ils sont eux !

    et sinon oui, pour ne pas reprendre notre ami Ciseur, Enormous Pelican c’est évident !!!!

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