Les premiers à tourner !

Vous vous demandiez pourquoi leur portrait n’a pas été dressé jeudi, au même titre que les autres équipes ? Tout simplement parce que vos fidèles serviteurs de l’équipe communication ne les avaient pas trouvés. Et pour cause, ils étaient bien cachés… Dans les souterrains qui parcourent le Techn’Hom de Belfort.

Alors, qui sont ces étudiants qui filment déjà dans l’ombre (des souterrains) ?

Ils sont quatre étudiants en première année, pour qui c’est la première participation au FF1J. En revanche, CNT CNC en tant qu’école est loin d’en être à son premier essai ! « Les anciens étudiants nous ont fortement incité à y aller », nous confie Laure. « Les affiches des éditions précédentes sont exposées dans le local du club, ça donne envie ! » précise Jérôme.

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Mais alors, où en sont-ils ? Pour une équipe de seulement quatre personnes, ils ont plutôt bien avancé. Le scénario a été rédigé rapidement, ce qui leur a permis de ne pas perdre de temps et de commencer à tourner dès jeudi après-midi. Leur principale difficulté ? Ils sont tout juste assez pour tourner, ce qui laisse peu de place à l’imprévu.

Et quel est le scénario ? « C’est un homme qui se réveille dans des endroits improbables. Il était employé chez TRINAPS (l’entreprise qui leur a été attribuée), mais il s’est fait remercier parce qu’il s’endormait sans cesse sur son lieu de travail. »

D’ailleurs, que pensez-vous du partenariat avec l’entreprise ? « Ce n’est pas une contrainte, mais une opportunité ». On souligne cette fort jolie phrase pour donner son avis sur le sujet.

Le mot de la fin : « notre pilote est super ! ».

Leur devise : « l’euro ».

L’homme qui se cache derrière TRINAPS : Gauthier DOUCHET

Cet ancien étudiant de l’UTBM a été emballé par le concept d’intégrer des entreprises au festival.

Et c’est bien normal, car en plus d’avoir été étudiant à l’UTBM, il en a présidé l’association étudiante. C’est sous son mandat qu’a été faite la proposition de monter le premier FF1J, en 2005. « Ça fait plaisir de voir qu’onze ans après la première édition, le FF1J est toujours là ».

Au niveau de l’ambiance dans l’équipe, il n’a rien trouvé à redire. Se prêter à l’exercice d’écrire un scénario lui a paru assez difficile, mais tous ensembles ils ont réussi à trouver un fil conducteur.

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Il jour son propre rôle dans le film, celui du chef d’entreprise, « mais en méchant », précise-t-il. Et en vrai, vous êtes méchant ? « Non pas du tout ». (Nous voilà rassurés sur le sort de notre équipe !)

Que pensez-vous de l’organisation du festival ?

Tout va pour le mieux en ce qui nous concerne ! Sauf peut-être l’équipe communication, qui est décidément pénible avec ses questions… Mettons cette remarque sur le compte de la fatigue et du manque de sommeil.