Ils sont 4 à occuper une petite chambre dans un appartement montbéliardais. Manque de chance, ils filmaient la porte quand on est entré, mais ce sont les petits déboires du FF1J. Bien préparés et bien équipés, ils terminent leur avant-dernière prise en milieu d’après-midi, pour nous raconter « une histoire de concombre et de fromage blanc ».

le studio

 

 

Quand on les interroge, ils sont confiants : « le gros coup de fatigue est passé, on est décontractés ». Ça s’explique : les monteurs sont déjà en action sur les prises de nuit. Ils travaillent à une première version qui servira aux tests d’export. « Comme ça, on est sûrs de finir dans les temps ! »