Savez-vous que le FF1J est un festival qui s’étend sur quatre jours, et ce sans interruption ? Et oui, même la nuit on peut rencontrer de drôles de cinéastes au détour d’un couloir.

La com’ prise d’insomnie s’est donc amusée à visiter toutes les équipes pendant la nuit du Vendredi au Samedi, éprouvantes heures de montage pour les concurrents.

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Alors que certains sont déjà en train de prendre leur pause-café, le compteur annonce qu’il ne reste plus que 12 heures avant la fin de la compétition. Certains s’amusent à faire du light painting, d’autres se prélassent, d’autres encore planifient les dernières prises qui auront lieu le lendemain.

Pas facile en effet de déterminer si ce qu’on a filmé correspond à ce qu’on voulait avant de passer au montage, il y a donc eu quelques mauvaises surprises comme pour Le Studio qui –si vous vous en rappeliez- nous avait annoncé en avoir enfin terminé avec le tournage un peu plus tôt dans l’après-midi.

Sans titre

Intrigue qui occupe également tous les esprits, l’identité du ronfleur qui a animé la première nuit. Certains le voient près des murs et des fenêtres, d’autres l’ont plutôt repéré vers les tapis ou vers l’entrée… Pas facile de démêler le vrai du faux.
La com’ a bien essayé de découvrir son identité, mais nos recherches se sont malheureusement avérées vaines. On espère quand même que vous avez bien dormi au gymnase !

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Fusent alors quelques nouvelles anecdotes de tournage : on apprend l’heure tardive à laquelle ont été rajoutées certaines lignes de scénario, les petites aventures d’Enssa’Tourne en forêt qui rendirent nécessaire un partenariat officiel avec le rayon vêtement du Cora, ou encore les dérives du jury qui nous proposera un film « visionnaire ».

Et alors que dans les différentes équipes, on se relaie pour effectuer le montage nous avons pu recueillir le ressenti d’UT’Prod, et notamment celui de ceux qui ont déjà fait le FF1J côté Orga :« C’est une tout autre notion du temps, il n’y a aucun temps mort ! Même en pause on ne s’arrête jamais de penser au court-métrage. C’est beaucoup plus de pression mais on adore ! »